Après la levée des sanctions de l’Union européenne contre Lambert Mende et Roger Kibelisa, le Front Commun pour le Congo estime que les sanctions prises à l’encontre de ses cadres étaient arbitraires et basées essentiellement sur des motivations politiques et donc contraires au droit international.
En réaction, le coordonnateur de cette famille politique, Néhémie Mwilanya, pense que ceux qui devraient être condamnés pour entrave au processus électoral sont libres jusqu’aujourd’hui et sont même reçus par l’Union européenne.
« Pour preuve, il n’ y a pas pire, comme auteurs d’entraves au processus électoral. Ceux qui ont incité publiquement à la violence et appelé à détruire le matériel électoral ( MAV), courent les rues et sont régulièrement reçus par les dirigeants de l’UE » écrit-il sur le compte twitter du FCC.
Il sied de rappeler que la liste est encore longue des dignitaires du FCC sous embargo de l’UE.
Rédaction
Asterisk News 